Explications
Je sais pourquoi elle est partie.
Elle souffrait trop de ces week-ends seuls, de ne pouvoir me montrer à ses amis, à ses parents.
Elle n'a pas voulu savoir où j'en étais, si l'échéance approchait, si ma séparation se précisait.
Elle essaye de se protéger; sauter dans les bras d'un local disponible, ne plus entendre parler de moi, monter en épingle mes moindres commentaires et en construire ma liste de ses défauts insurmontables.
Elle a tout orchestré, tout planifié, tout manigancé, mais je vois dans son jeu, comme d'habitude.
Il y a ce qu'elle dit et qu'elle veut me faire croire et ce qu'elle ressent vraiment. Cela passe sûrement avec la plupart de ces proches, mais pas avec moi.
La seule question qui se pose à ce jour; Qu'est-ce que je veux .... ?
Elle me manque. Nos échanges, notre partage, notre vie sexuelle, sa fille, nos expériences, nos découvertes, ces si nombreuses premières fois, tout ça me manque.
Mais pourrais-je supporter ses paniques récurrentes, ses peurs quotidiennes, ses interrogations fréquentes, ses sautes d'humeurs aléatoires, ses changements d'opinions réguliers ?
Je ne crois pas...
J"ai mis du temps à m'en rendre compte, à comprendre d'où venait cette réticence à faire le pas de plus.
Je ne lui ai jamais dit, je n'ai pas osé, pour ne pas la déstabiliser plus encore, par ce que je ne savais comment elle réagirai, pour préserver ce cocon où elle se forgeait un futur, un tempérament.
Finalement les choses ont bien tournées, pour moi et je ne peux que me réjouir de cette issue.
Certes il me faut re dessiner mon présent, mon futur, mais j'en ai la volonté et l'énergie.
Je suis de retour sur un blog, j'en lis d'autre, je m'ouvre à nouveau sur autrui.
Je suis triste pour elle, son choix fût rapide et inadapté. Son nouveau chevalier va faire illusion quelques semaines puis va s'étioler, et là je vais devoir être solide, ne pas prêter attention à ses appels du pieds, à ses appels à l'aide, garder mon cap, avancer pour moi, égoïstement pour une fois ...
Elle souffrait trop de ces week-ends seuls, de ne pouvoir me montrer à ses amis, à ses parents.
Elle n'a pas voulu savoir où j'en étais, si l'échéance approchait, si ma séparation se précisait.
Elle essaye de se protéger; sauter dans les bras d'un local disponible, ne plus entendre parler de moi, monter en épingle mes moindres commentaires et en construire ma liste de ses défauts insurmontables.
Elle a tout orchestré, tout planifié, tout manigancé, mais je vois dans son jeu, comme d'habitude.
Il y a ce qu'elle dit et qu'elle veut me faire croire et ce qu'elle ressent vraiment. Cela passe sûrement avec la plupart de ces proches, mais pas avec moi.
La seule question qui se pose à ce jour; Qu'est-ce que je veux .... ?
Elle me manque. Nos échanges, notre partage, notre vie sexuelle, sa fille, nos expériences, nos découvertes, ces si nombreuses premières fois, tout ça me manque.
Mais pourrais-je supporter ses paniques récurrentes, ses peurs quotidiennes, ses interrogations fréquentes, ses sautes d'humeurs aléatoires, ses changements d'opinions réguliers ?
Je ne crois pas...
J"ai mis du temps à m'en rendre compte, à comprendre d'où venait cette réticence à faire le pas de plus.
Je ne lui ai jamais dit, je n'ai pas osé, pour ne pas la déstabiliser plus encore, par ce que je ne savais comment elle réagirai, pour préserver ce cocon où elle se forgeait un futur, un tempérament.
Finalement les choses ont bien tournées, pour moi et je ne peux que me réjouir de cette issue.
Certes il me faut re dessiner mon présent, mon futur, mais j'en ai la volonté et l'énergie.
Je suis de retour sur un blog, j'en lis d'autre, je m'ouvre à nouveau sur autrui.
Je suis triste pour elle, son choix fût rapide et inadapté. Son nouveau chevalier va faire illusion quelques semaines puis va s'étioler, et là je vais devoir être solide, ne pas prêter attention à ses appels du pieds, à ses appels à l'aide, garder mon cap, avancer pour moi, égoïstement pour une fois ...
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